42 milliards d’euros, tel est le montant du regroupement d’emprunts immobiliers enregistrés sur l’année 2013, soient un chiffre qui équivaut à 30% des cent-quarante milliards d’emprunts produits.

Quelles sont les raisons d’un tel plébiscite ?

Permettant de rassembler ses emprunts en une seule ligne de crédits aux conditions plus adaptées, la restructuration de prêts multiplie les atouts pour séduire. Un grand nombre de souscripteurs ont parfaitement compris  tout l’intérêt de  ce mécanisme qui permet de regrouper plusieurs lignes de crédits (crédit immobilier, crédit à la consommation, crédits personnels) en un crédit unique  aux circonstances plus avantageuses. Voyons quels sont les atouts pour l’emprunteur.

Très apprécié ces dernières années à cause de la crise et de la diminution historique des taux, le rachat de pret est un dispositif financier qui offre de plusieurs intérêts pour les emprunteurs :

Réduire le montant de vos charges mensuelles

Vous pouvez aussi opérer un rachat de crédits en vue de diminuer vos remboursements mensuels. On parlera alors de restructuration de prêts plutôt que de rachat de crédits.

Ces opérations peuvent également s'avérer très bénéfiques pour éviter une condition de surendettement. Elles consistent à éviter une situation de surendettement, l’opération revient à remplacer vos précédents emprunts un crédit unique aux mensualités moins élevées, dont la durée de remboursement est parfois plus longue.

La gestion de vos différents prêts

Qu’il s’agisse de prêts immobiliers, de crédits à la consommation ou encore d’emprunts personnels, un rachat de crédits peut augmenter vos chances d’obtenir un nouveau financement.

Suite à votre restructuration, vous n’aurez plus qu’une seule mensualité à rembourser, et elle sera plus supportable. Vous pouvez ainsi non seulement réduire votre niveau d'endettement mais aussi vous offrir une gestion simplifiée de votre budget quotidien. En plus de bénéficier d’une gestion plus simple de vos finances, vous bénéficierez d’un taux d’endettement réduit.

Conjuguer avec des diminutions de pouvoir d'achat

En 2014, il est prévu que les cotisations et prélèvements obligatoires dépassent les 10 milliards d’euros. Cette situation pourrait entraîner la diminution des pouvoirs d’achats.

Évoquons la hausse de la Taxe sur la valeur ajoutée qui est passée dès le premier janvier 2014, de 19,6 à 20 % pour le taux normal et de sept à dix % sur le taux intermédiaire.